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The Problem with Dairy

Le problème causé par les produits laitiers

Le lait provenant des vaches a longtemps été présenté comme un « aliment sain ». Cependant, lorsque l’on examine de plus près la façon dont il est digéré par l’organisme humain et sa méthode de fabrication aujourd’hui, on constate qu’il n’en est pas ainsi.

 

La caséine : une protéine trop complexe pour l’être humain

 

La caséine est la principale protéine du lait de vache. Alors que la caséine convient idéalement aux veaux (qui doublent leur poids en seulement quelques semaines), elle est beaucoup trop complexe pour le système digestif humain. Nos enzymes digestives ont du mal à décomposer complètement la caséine, ce qui laisse des fragments de protéines non digérés dans notre système digestif. Ceux-ci peuvent irriter la muqueuse intestinale et contribuer à l’inflammation. Elles peuvent également déclencher des réactions immunitaires qui se manifestent par des problèmes cutanés, une congestion des sinus ou des troubles digestifs.

 

Digestion et inflammation

 

La composition du lait maternel humain est très différente de celle du lait de vache. Il contient moins de caséine et les nourrissons ont plus de facilité à le digérer. En revanche, le lait de vache demeure longtemps dans le tube digestif humain. Comme l’organisme a du mal à le digérer, le système immunitaire l’identifie comme une substance étrangère. L’organisme réagit en causant une inflammation, ce qui est le système de défense naturel de l’organisme. L’inflammation chronique causée par des aliments tels que les produits laitiers est désormais associée aux allergies, à l’asthme, à l’arthrite, à l’eczéma et aux maladies auto-immunes.

 

Les hormones dans le lait

 

Les vaches utilisées par l’industrie laitière moderne ne sont plus les mêmes qu’il y a 50 ans. Pour satisfaire les exigences de l’industrie, elles se font fréquemment injecter des hormones de croissance bovines recombinantes, une substance synthétique qui vise à accroître la production laitière. Malheureusement, des traces de cette hormone demeurent dans le lait consommé par les humains.

 

Les hormones, telles que l’hormone de croissance bovine recombinante combinées aux hormones de croissance naturelles des vaches, ont suscité des inquiétudes quant à leur lien potentiel avec les cancers liés aux hormones, la puberté précoce et les perturbations endocriniennes. En raison de l’absence de recherches à long terme, les effets complets des résidus hormonaux dans le lait demeurent inconnus, mais les risques sont préoccupants.

 

Les antibiotiques présents dans la chaîne alimentaire

 

Les vaches laitières industrielles reçoivent également des antibiotiques de façon régulière. Ces médicaments sont destinés à prévenir les infections, telles que la mammite (une infection du pis fréquente chez les vaches trop traites). Cependant, les antibiotiques ne disparaissent pas simplement : ils peuvent demeurer dans le lait et pénétrer dans le corps humain, ce qui contribue à la résistance aux antibiotiques, l’une des principales menaces pour la santé publique de notre époque.

 

Des fermes locales aux grandes entreprises

 

Il y a cinquante ans, l’industrie laitière était très différente. Le lait provenait souvent d’une seule ferme locale et était consommé cru ou peu transformé. Les familles connaissaient leurs agriculteurs; elles savaient ce que mangeaient les vaches et elles avaient confiance en la qualité du produit. Le lait était livré frais, souvent le jour même de sa collecte.

 

Aujourd’hui, l’industrie laitière est une entreprise évaluée à des milliards de dollars. Le lait est collecté auprès d’innombrables vaches et fermes. Ces vaches sont élevées pour produire des volumes de lait anormalement élevés, souvent au détriment de leur santé. Beaucoup ne paissent jamais dans les prés; elles sont confinées et nourries avec des céréales, du soja et des sous-produits – des aliments qui modifient le profil nutritionnel de leur lait.

 

Pasteurisation et homogénéisation

 

Afin d’assurer l’uniformité et la stabilité du produit, le lait moderne est soumis à un traitement intensif :

  • Pasteurisation : le lait est chauffé à haute température pour tuer les bactéries. Malgré que ce processus permet d’éviter les maladies causées par des microbes nocifs, il détruit également les bactéries et enzymes bénéfiques qui aident naturellement les humains à digérer le lait. Par exemple, la pasteurisation tue la lactase, l’enzyme qui décompose le lactose (un type de sucre présent dans le lait). C’est l’une des raisons pour lesquelles tant de personnes souffrent d’intolérance au lactose.
  • Homogénéisation : le lait est forcé mécaniquement à travers de minuscules trous à haute pression afin de décomposer les globules gras pour qu’ils ne se séparent pas. Ce processus modifie la structure des graisses, les rendant plus difficiles à digérer et pouvant contribuer à l’inflammation.

 

Le résultat : un produit très éloigné du lait frais et nourrissant d’autrefois, dépourvu de nombreux composés bénéfiques et chargé de résidus issus des pratiques agricoles industrielles.

 

Conséquences des produits laitiers modernes sur la santé

 

La combinaison de protéines difficiles à digérer, de résidus d’hormones et d’antibiotiques et de la perte d’enzymes naturelles fait des produits laitiers modernes un facteur déclenchant courant de problèmes de santé, incluant :

  • Des problèmes digestifs : ballonnements, gaz, constipation et diarrhée.
  • Des problèmes cutanés : acné, eczéma et psoriasis.
  • Des problèmes respiratoires : congestion des sinus, rhumes chroniques et asthme.
  • Des affections inflammatoires : arthrite, douleurs articulaires et poussées auto-immunes.
  • Des déséquilibres hormonaux : cycles irréguliers, puberté précoce et problèmes de santé liés à la prostate et aux seins.

 

Une vision plus large

 

L’industrie laitière commercialise le lait comme une source indispensable de calcium et de protéines. Cependant, nous savons que les aliments d’origine végétale, tels que les légumes verts à feuilles, les noix, les graines et les légumineuses fournissent du calcium sous des formes que l’organisme peut absorber plus facilement, sans les effets inflammatoires causés par les produits laitiers. On retrouve également des protéines de haute qualité dans le poisson, les œufs, la viande d’animaux nourris à l’herbe et les aliments végétaux, tels que le quinoa et les graines de chanvre.

 

En résumé

 

Le lait de vache est conçu pour les veaux; il n’a jamais été conçu pour les humains. La caséine est trop complexe pour notre organisme. Les hormones et les antibiotiques présentent des risques à long terme. Les méthodes de transformation alimentaire modernes éliminent les bienfaits naturels tout en laissant derrière elles un produit dont la structure chimique a été modifiée. Pour beaucoup de gens, les produits laitiers ne sont pas seulement inutiles; ils sont également une source majeure d’inflammation, de mauvaise digestion et de maladies chroniques.

 

À bientôt,

Frances

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